Etes-vous sûr de payer le bon montant ? Avant la fin de l’année, autant affiner le calcul pour éviter le retour de flamme qui fait mal. Où ça ? Dans le nouvel espace client indépendant évidemment !
Ah les cotisations sociales trimestrielles. Difficile, évidemment, de trépigner à l’idée de les payer. Pour autant, et même si c’est aussi folichon qu’un matin de novembre qui hésite entre le sombre brumeux et le gris cafardeux, elles s’inscrivent au coeur du processus pour tous ceux qui entreprennent. Il y a trois manières de gérer le montant desdites cotisations. Juste, avant de les ébaucher, petit rappel. Les cotisations sociales sont calculées sur les revenus gagnés durant une année civile. La Caisse d’assurances sociales les calcule sur base des revenus qui lui sont renseignés par l’administration des contributions. Les revenus officiels n’étant pas encore connus, la Caisse d’assurances sociales réclame dans un premier temps une cotisation trimestrielle provisoire. Comment la calcule-t-elle? En fait, le montant mentionné dans l’avis d’échéance est basé sur les revenus indexés d’il y a trois ans ou sur un forfait si l’activité connaît ses premiers mois.
En pratique, les paiements feront l’objet d’un décompte lorsque la Caisse d’assurances sociales aura connaissance des revenus avérés de l’année. Soit, pour 2024, peu ou prou en 2026. UCM vérifiera alors si le montant payé est trop élevé, ce qui fait plaisir. Ou pas assez, ce qui fait moins pas plaisir. De là découlera un décompte simple et transparent indiquant, selon le cas, le trop-perçu qui sera remboursé ou le supplément à payer.
Du coup, et pour éviter les suppléments version retour de la vague, il convient d’ajuster au mieux la mire en évaluant si les montants épousent la réalité des chiffres ou pas. Où ça? Dans le nouvel espace client indépendant évidemment, où tout se fait en quelques clics. Un seul « lieu 2.0 » où sont centralisées toutes les données. Simple, rapide et efficace. Pour optimiser cette démarche, il y a, donc, trois options. Pour plus de didactisme, autant le faire de façon chiffrée. La première? Payer le montant proposé par la Caisse d’assurances sociales en début d’année si les revenus sont équivalents à ceux de 2021. Ou, si les revenus ne dépassent pas le forfait minimal, soir 16.861,45 sur une année pour l’indépendant à titre principal.
La deuxième consiste à anticiper et payer plus que ce qui est proposé. Pourquoi? Imaginons que l’année 2024 connaît de meilleurs chiffres que sa grande soeur 2021 (ou le forfait). Du coup, autant anticiper et augmenter le montant des cotisations, toujours en quelques clics et toujours dans l’espace client indépendant. Pourquoi? Parce qu’aucune majoration, amende ou intérêt de retard ne pourra être réclamé. Dans le cas où le montant versé s’avérerait tout de même insuffisant, compte tenu des revenus réels de l’année, il faudrait alors juste payer dans les délais le supplément mentionné dans le décompte. Et si la somme est trop élevée, remboursement il y aura évidemment.
C’est la troisième option. Direction l’espace client indépendant, encore et toujours, où il sera possible de demander la diminution des cotisations trimestrielles. Cela dit, la démarche n’est pas sans « risque ». Si réduction de cotisation il y a, il vaut toujours mieux consulter son comptable pour s’assurer de ne pas dépasser, en 2024, le montant des revenus sur lesquels la réduction a été accordée. Pourquoi? Parce que si le montant des cotisations définitives dépasse celui des cotisations provisoires réduites, il y aura une majoration à supporter, pour le dire poliment. De l’ordre de 3 % par trimestre et de 7 % par an. Celles-ci s’ajoutant au supplément à régulariser. Dès lors, et pour éviter ce surcoût qui fracture la colonne plus du bilan comptable, si diminution il y a mais que les revenus s’annoncent finalement plus élevés, direction directement l’espace client indépendant pour (ré)adapter le montant des cotisations.
Bref, en substance et qu’importe la tendance, à la hausse ou à la baisse, des cotisations. Ou même pour vérifier ses différents documents. L’espace client UCM est l’épicentre de tout!