Il y a dix ans, moins de 1.500 sites web pratiquaient l'e-commerce dans le pays. La progression constante s'est fortement accélérée avec le confinement. Fin 2020, près de 8.000 sites belges proposaient aux consommateurs d'acheter en ligne. Il faut ajouter environ 3.700 sites étrangers.
Acheter sur le web est entré dans les habitudes et cela n'empêche pas de privilégier la proximité. Avec la crise sanitaire, des nouveaux commerçants ont d'ailleurs commencé leur activité avec un magasin virtuel, avant d'envisager d'aménager un espace pour recevoir les clients.
La vente en ligne est l'aboutissement d'une stratégie marketing de présence sur internet devenue indispensable. Pour conserver ou augmenter leur part de marché dans un monde de plus en plus connecté, rares sont les commerçants qui peuvent se passer d'une vitrine virtuelle, d'un contact avec leurs clients via des newsletters ou les réseaux sociaux. Quand le consommateur est intéressé par un produit, l'obliger à passer au magasin peut couper le contact et l'envoyer chez un concurrent. L'e-commerce permet de vendre à distance, et 24 h/24.
Il y a deux questions à se poser avant de vendre en ligne. La première est celle de la gestion des stocks, des expéditions et des retours. La seconde est celle des paiements. Il existe aujourd'hui des systèmes sécurisés extrêmement fiables. Il est même possible d'accepter les chèques-repas (pour la nourriture ou les boissons), les chèques-cadeaux et les écochèques.
Monizze, partenaire UCM (450.000 utilisateurs), propose une solution sans frais d'activation ni abonnement. Le coût est uniquement à la transaction. Adhérer au réseau Monizze donne une visibilité sur le site de cet émetteur. Infos en ligne, via shop@monizze.be ou au 02/686.16.20.
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