L'idée est la suivante : envisager de défiscaliser 6.000 euros par an, revenus gagnés par des personnes qui effectueraient de petites tâches de la vie quotidienne.
Les pères salariés peuvent prendre dix jours de congé dans les quatre mois qui suivent la naissance de leur enfant. Les trois premiers sont payés à 100 % par l'employeur, les sept suivants à 82 % par la mutuelle. Les pères indépendants, eux, n'ont rien d'équivalent.